Esta es una contestación a un artículo escrito por Hervé Hammon en el medio francés www.letelegramme.com (http://www.letelegramme.com/ig/generales/france-monde/commentaires/courant-d-ere-les-morts-ne-veulent-pas-mourir-12-02-2012-1598725.php)
Cher Mr Hamon,
D’abord je voudrais m’excuser si dans ce texte il y a des fautes grammaticales
ou d’orthographie.
Je voudrais expliquer un peau plus profondément la raison pour laquelle Mr
Garzon a été condamné jeudi dernier.
Mr Garzon a accordé l'intervention systématique des conversations des
détenus par un affaire de corruption avec leurs avocats, ce qui constitue une
grave contravention du droit de défense. Personne serait contre cette décision
de la Court Suprême espagnole si le juge s'appelait Martinez au lieu de Garzón.
J'explique ça dans mon blog (en espagnol,
http://cazzovadaabordo.blogspot.com/2012/02/mi-opinion-sobre-la-condena-garzon.html)
Par rapport a l'affaire du franquisme il ne faut pas oublier que le même Mr
Garzon a été demandé d'enquêter les
évènements de Paracuellos en 1936, pendant la Guerre Civile en Espagne, où
2.400 prisonnières politiques (selon les calculs plus bas) ont été assassinés
pour le Front Populaire et d’enquêter la participation aux faites du dirigent,
á ce moment là, des jeunesses socialistes et Responsable de l’Ordre Publique à
Madrid, et après pendant la transition, Secrétaire Général du PCE, MR Carrillo.
(en français http://fr.wikipedia.org/wiki/Massacre_de_Paracuellos)
Mr Garzon a décidé de ne pas enquêter l'affaire en disant que les faites
étaient couverts par la loi d’amnistie.
Est-ce qu'on peut comprendre que le même juge, devant des faites
similaires, puisse considérer que certains son couverts par la loi d'amnistie
et d'autres ils ne sont pas? À mon avis, ça constitue une claire utilisation
partisane de la justice qui fait gravement du tort à la sécurité juridique en
Espagne.
Je ne voudrais pas m’oublier de mentionner que Mr Garzon a encore une
troisième cause ouverte devant la justice espagnole parce qu'il a demandé de
l’argent pour faire des courses aux
Etats Unis au PDG de la Banque Santander, Mr Emilio Botín, ayant ce dernier des
causes ouvertes devant la Court où MR Garzon travaillait. Désormais cet affaire
est connu "Querido Emilio: Paga" « Cher Emilio:
Payez".
Donc, à mon avis, ce n'est pas un affaire de manque de démocratie en
Espagne mais des actions illégales d'un juge vedette qu'a voulu faire de sa
Court une deuxième Court Pénale Internationale et qu'a commis de graves crimes
contre la justice.
No hay comentarios:
Publicar un comentario